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Auteur(s): Rossé Christian

Le Service de renseignements suisse face à la menace allemande, 1939-1945

Durant la Seconde Guerre mondiale, dans une Suisse entourée de toutes parts par les forces de l'Axe, la question cruciale à laquelle son Service de renseignements (SR) devait répondre était le poids de la menace allemande qui pesait sur le pays. Hitler allait-il attaquer ? Roger Masson, chef du SR, n'y a jamais répondu par oui ou par non, mais toujours par une estimation née de la mise en balance de facteurs de crainte et de facteurs de confiance. Pour rédiger ces estimations, Masson et son équipe décryptent et mettent en perspective des centaines de rapports transmis par des espions et des observateurs, voire par le biais d'une collaboration avec les services secrets alliés. Ce livre, fruit d'une investigation approfondie dans les archives inédites du SR suisse, nous entraîne dans les arcanes secrets du renseignement de guerre ouvrant sur les grands enjeux géopolitiques de la Seconde Guerre mondiale.

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Titre
Le Service de renseignements suisse face à la menace allemande 1939-1945
Editeur
Alphil
Co-éditeur
Éditions Lavauzelle
Auteur
Rossé Christian
Collection
Histoire militaire
Numéro
22
Langue
français
Thème
Histoire militaire
Histoire politique
Année de parution
2006
ISBN Papier
978-2-7025-1285-2
Format
14.8x21x1.9
Nb de pages
310
Avec
Graphiques - photos - cartes - organigrammes

Références spécifiques

EAN13
9782702512852
Collection Histoire militaire
22
310 p.
ISBN 978-2-7025-1285-2
Rossé Christian

Né en 1973, d'origine jurassienne, Christian Rossé a grandi à La Neuveville, où il a effectué toute sa scolarité obligatoire. Après avoir obtenu sa maturité à l'école supérieure de commerce de Neuchâtel, il entre à l'université de cette ville pour y étudier l'histoire et la philosophie. Il y obtient une licence ès lettres en 2000. Initié par son mémoire de licence, son travail porte sur l'histoire du renseignement pendant le second conflit mondial.

Depuis 2003, il est membre du groupe international de recherches sur la frontière franco-suisse animé par les universités de Neuchâtel et de Fribourg, côté Suisse, et par l'Université de technologie de Belfort-Montbéliard (laboratoire RECITS), côté France. Il partage son temps de travail entre son poste de collaborateur scientifique à l'Office fédéral de la statistique et la rédaction de sa thèse de doctorat portant sur les échanges de l'ombre à travers la frontière de l'Arc jurassien entre 1939 et 1945. Dans le cadre de cette recherche, il tente de dénouer les rapports étroits qui existaient entre le SR suisse et ses homologues alliés, ainsi de mettre en perspective l'activité complexe liée au renseignement de part et d'autre de la frontière.